(Orphé Double-H)

Jme sens seul entourée d'7 milliard
Ouai c'est bizarre moi dans l'blizzard je forge mon esprit
Pense à ceux que j'estime et que j'aime sans leur dire le rap sans moi c'est comme une teuf sans leur-dea l'heure file je le sais je sais ou j'vais je le sent quand ca va pas jai le son ou bien alors jai le sang qui coule
Sent tu qu'jai pas d'theme Mais que je tue sa
La haine l'amour la tristesse au fond d'mon cœur ouai moi j'ai tout sa oui jai tousser pour ma première taff dans mon premier taff putain d'sa mère déjà j'étouffer
C'est moi qui écris Mais c'est ce que tu pense
On est pareil au delà des frontières de France
Avec le rap jai tisser des liens fort oui ca m'a permis de fuit et sa je sais pas si c'est bien
Ma mère voulais que jpense a demain
Mais demain jai vite compris que c'était loin

Refrain:

Viens voir j’vais t’montrer comment on danse la nuit
Comme on s’contente de peu quand on veut prendre la fuite
Comment on pense que tout va bien comment on rentre ivre
Comment on s’ment sous la pression, comment on change
Comment on pense comment on r’ssent comment on chante la vie
Comment on tremble quand on voit l’fond de l’abîme
Comment un « rien » peut dev’nir « tout » quand t’atteint l’centre d’la cible
Comment on s’sent quand on comprend comment l’monde change

(Lours)


Face aux problèmes c’est stick, verre cul-sec et on en parle plus
On sort une feuille, on fuit entre les lignes et on s’empare du
Peu d’temps imparti qu’il nous reste, pour écrire c’qui nous blesse
Une dernière ligne, pour dire au revoir à ce qui nous laissent

Puis la vie continue, on versera du sang sur la route
La tête vers les étoiles s’disant qu’au final on s’en ira tous
Aller, à toute, on s’revois là-haut
Peut-être plus tôt qu’prévu à force de passer d’un joint a l’autre

La vie un mic, faut qu’on soit tous dead pour pas qu’on le kick
Car la limite c’est le ciel et tant qu’on y est pas on peut tout accomplir
Tant qu’la plume sera une thérapie, pseudo-psychanalyse
La weed s’banalise, on s’enfonce dans c’brouillard, on s’y canalise

Tout en s’protégeant du monde et de son amas d’vices
De cette planète où c’est en payant qu’tu montes
Et puis j’m’en tape à dire vrai de c’que les gens disent
Si tu m’demande couz, j’aurais rien pour parfaire à ta liste


Refrain :

Viens voir j’vais t’montrer comment on danse la nuit
Comme on s’contente de peu quand on veut prendre la fuite
Comment on pense que tout va bien comment on rentre ivre
Comment on s’ment sous la pression, comment on change
Comment on pense comment on r’ssent comment on chante la vie
Comment on tremble quand on voit l’fond de l’abîme
Comment un « rien » peut dev’nir « tout » quand t’atteint l’centre d’la cible
Comment on s’sent quand on comprend comment l’monde change